C’est une analyse marketing pointue que nous a servie, hier, le Community Manager de Décathlon. La romance à l’eau de rose teintée de sado-masochisme la plus célèbre du cinéma aurait boosté les ventes de cravaches de l’équipementier sportif.
Il y a quelques mois, on a remarqué une hausse de nos ventes de cravaches. On a analysé nos chiffres pour essayer de comprendre d’où ça pouvait venir. Puis on s’est rendu compte que ça coïncidait exactement avec la sortie de « 50 nuances plus sombres ».
Et c’est même pas une vanne.— Decathlon (@Decathlon) 26 mars 2018
C’est que, dans le domaine de « l’équitation » entre adultes consentants, se fournir en magasin spécialisé peut s’avérer cher et décevant. Les magasins de « saut d’obstacles sexuel » revendent généralement leurs accessoires à prix d’or, pour une qualité pas toujours au rendez-vous. Alors qu’avec un peu de bon sens, on peut se fournir chez un généraliste à moindre frais.
Mais, du coup, pourquoi s’arrêter en si bon chemin et ne prendre qu’une bête cravache ? Avec un peu d’imagination, on embarque une selle, une paire d’étrier, un petit détour par le rayon vélo pour un guidon tout neuf et vous voilà fin prêt à monter un champ de course interdit aux mineurs dans votre sous-sol.