Les sociétés arabo-musulmanes demeurent corsetées par la religion, et la sexualité, pratiquée entre transgression, culpabilité et hypocrisie, témoigne d’un rapport pathologique à la femme. Pourtant, il existe un érotisme arabe ancestral, que certains intellectuels comme Malek Chebel ont mis en lumière.
Le rapport à la femme, dans l’ensemble du monde arabo-musulman, est révélateur des tabous liés à la sexualité, qui sont plus que jamais en vigueur. Comme le rappelle le chroniqueur algérien Kamel Daoud, « l’une des grandes misères d’une bonne partie du monde dit “arabe”, et du monde musulman en général, est son rapport maladif à la femme.
Dans certains endroits, on la voile, on la lapide, on la tue ; au minimum, on lui reproche de semer le désordre dans la société idéale. »
Retrouvez la suite de cet article dans le magazine JACQUIE ET MICHEL MAG N°14
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