Le casque de réalité virtuelle de Sony est en mauvaise posture face à ses concurrents directs. Et selon les spécialistes, c’est pour une raison très simple : la multinationale japonaise refuse d’accueillir du porno sur sa plateforme.
Et on ne va pas se mentir, on est franchement prêt à leur donner raison. La seule chose qui empêche ce genre de gadgets à plusieurs centaines d’euros de prendre la poussière dans un tiroir, en dehors de quelques expérimentations vidéo-ludiques certes immersives mais relativement limitées, c’est le cul. Parce que, bon, exterminer du démon baveux à la sulfateuse sur des riffs endiablés de dubstep, ça va cinq minutes, et c’est quand même moins chill que de palper virtuellement les nichons de Brett Rossi prête à vous faire la totale, là, maintenant, tout de suite.

La star s’épanche d’ailleurs sur le sujet : « ce genre de plateformes doit se faire à l’idée que des adultes doivent pouvoir s’accorder des moment d’adultes. L’une des seules limitations à cette technologie est le nombre de manière dont les gens peuvent interagir avec. »
On n’aurait pas dit mieux. On a d’ailleurs tout un catalogue de nouveaux « moyens d’interagir » avec ce joujou techno, si ça vous dit…